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 [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth)

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Alexandre Volokine
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MessageSujet: [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth)   [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth) EmptyLun 30 Mai - 23:58

Journée de merde mais plutôt tranquille... Paperasse, pause café, pause clope, paperasse, pause café, pause clope... Dans des proportions presque égales. L'idéal pour survivre à la gueule de bois. Alexandre descendit sur la passerelle et tira une dernière bouffée avant de jeter sa cigarette dans l'eau. Il enjamba deux barrières et regarda sa montre avant d'ouvrir la porte du bateau. Bientôt dix-huit heures ; il avait le temps. Dans la journée, il avait envoyé un message à Elizabeth pour lui proposer de passer sa soirée ici, avec une réponse plus que positive. Sans blagues. Vu ce que ça lui coûtait... et cela malgré la réduc non négligeable qu'elle lui proposait ; que ce soit par relation clientèle ou pour ses beaux yeux, les deux versions l'arrangeaient pas mal.

Il se changea rapidement, enfilant un short et s'étirant. Vu l'heure c'était trop tard pour un footing, m'enfin c'était justement pour ça qu'il avait casqué autant dans un vélo d'appartement. Quelques séries de pompes plus tard, un groupe de rock endiablé et dissonant résonna dans le bateau et il se lança pour une longue suée, tout en laissant son cerveau vadrouiller. Volokine avait du mal à l'admettre, mais la jeune fille commençait sérieusement et quotidiennement à envoûter ses pensées... Et maintenant qu'il y réfléchissait, il la voyait presque deux fois plus qu'il y a quelques mois. Bordel. C'était le cas de le dire... Il sourit cyniquement. A croire qu'il la considérerait comme autre chose qu'une indic... et une prostituée. Alexandre accéléra le rythme, imaginant presque les toxines s'envoler autour de lui. Les infos qu'elle lui donnait, il aurait pu les trouver facilement en creusant un peu et en se faisant chier un minimum ; rien de bien fatiguant en somme. Et pourtant il se voyait difficilement tirer un trait sur leurs rencontres. C'était pas seulement une histoire de besoin physique, il aurait très bien trouver ça autre part ; le genre bad boy grand et musclé avait tendance à faire fureur chez les filles... mais la vie de couple l'emmerdait grave, il aimait avoir sa tranquillité.

Bref, il faudrait qu'il prenne le temps de réfléchir sur tout ça un de ces jours. Peut-être avec Laurent, même si ses commentaires futurs le faisaient chier d'avance. La musique s'arrêta avec la fin de l'album, et Alexandre ralentit tranquillement, reprenant son souffle. Un rapide coup d'oeil sur l'horloge pour vérifier qu'il était dans les temps, et il se dirigea vers la salle de bain pour une douche et un coup de rasoir. Il s'habilla décontracté, rajouta un coup de peigne et de parfum pour parfaire le tout et se posa dans le canapé, fouillant dans une boite pour en sortir une poignée d'herbe à l'odeur douteuse. Il avait largement le temps de se rouler un pétard, autant en profiter. Il s'affaira à cette entreprise délicate, et en obtint un cône aux lignes harmonieuses et régulière, qu'il tendit vers le plafonnier. Un véritable chef-d'oeuvre. Il l'alluma et prit ses aises, se laissant doucement bercer par le roulis provoqué par le passage d'un hors-bord. Un temps passa et Alexandre faillit s'endormir. Il entendit soudain des bruits de pas lointains, et se redressa. Il écrasa ce qui restait du joint dans un cendrier, et se leva pour sortir.
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Elisabeth Pratt
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MessageSujet: Re: [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth)   [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth) EmptyDim 5 Juin - 19:05

Malgré la fin de ce mois de mai pluvieux, le fond de l'air était frais, et Élisabeth frissonna en sortant de chez elle.

Le fait qu'elle soit enceinte n'avait pour le moment rien changé à sa vie, comme elle l'avait tout d'abord craint. Couchée vers 8h du matin, l'esclave se levait toujours vers 16 heures pour faire le ménage et laver les affaires qui trainaient dans la salle de bain, pour manger son premier repas retirée dans sa chambre, en attendant son maitre qui venait toujours faire sa petite inspection dans sa chambre en début de soirée, lorsque le soleil venait de se coucher. Le quotidien. Mais il était aussi vrai que sa routine avait quelque peu basculée avec sa toute nouvelle grossesse. Car si elle se prostituait toujours, Olivier avait alors jugé qu'elle ne pouvait plus arpenter les rues comme auparavant. Malgré le tatouage imprimée, il avait désormais peur que son investissement ne fut une proie trop facile ; et si son ventre n'était que peu enflé pour le moment, il était manifeste que son petit jouet n'était plus guère capable de supporter des saignées trop longues ou les fatigues d'une déambulation trop longue dans les rues de Paris ; mais surtout, surtout, elle ferait bientôt une proie trop facile pour les vampires et toutes les racailles en quête d'une victime facile.
C'est pourquoi il l'avait placé au bordel, ce qu'elle avait l'air de supporter assez bien, à sa grande satisfaction.

Mais ce soir-là, elle n'irait pas directement dans l'établissement de plaisir où son maitre avait eu la grâce de la mettre. Non. Tout d'abord, elle avait promis à l'un de ses très bons clients - un policier, ou un commissaire, ou quelque chose comme ça, cela ne changeait rien à ses yeux d'ignorante - de venir le voir. Encore un qui n'avait pas le temps de draguer dans les bars... Il l'avait d'ailleurs ramassé l'année précédente devant un de ces bars à la mode, rempli de drogue et de musique forte, alors qu'il était encore trop tôt pour qu'elle s'y incruste. Il venait de sortir de son service, et il l'avait emmené chez lui, en balayant d'un geste la question de l'argent. Depuis, il l'appelait régulièrement, bien que ces derniers temps, il se montrait plus empressé qu'à l'ordinaire.
Devrait-elle lui dire qu'elle était enceinte, qu'elle ne pourrait bientôt plus le voir qu'au Palladium, qu'arpenter les rues de nuit deviendrait bien trop dangereux ? Sans doute. Mais pour l'heure, la jeune femme se réjouissait de retrouver la demeure flottante de "son" policier. Appartement romantique s'il en était, en tout cas, aussi original que dans les meilleurs livres, elle appréciait toujours de sentir le roulis de l'eau sous elle, comme un parfum d'aventure qu'elle aurait été bien incapable de désirer autrement que dans ses rêves les plus secrets et les plus coupables.

Frissonnant sous la brise qui annonçait une autre averse, elle s'arrangea dans le reflet de la vitre close qui courait sur tout le bateau figé dans la Seine, rabattant un peu la courte jupe rose vif sur ses jambes qui avaient l'air plus minces qu'à l'ordinaire, pour s'occuper enfin de son haut blanc et rose qui semblait mouler plus encore une poitrine qui avait décidément pris de l'ampleur. Une nausée la prit, qu'elle s'empressa de réprimer en fermant très fort les yeux. Non, il fallait qu'elle maitrise son estomac devenu fou depuis deux mois. Il ne fallait pas qu'elle oublie la volée qu'elle avait pris d'un client lorsqu'il avait décidé de se cabrer en plein milieu d'une étreinte.

Enfin prête... un instant, Élisabeth se prit à rêver à passer une nuit entière chez quelqu'un. Pour le plaisir. Puis elle se remémora l'hôtel de Clission, et la mission de son maitre... Ne pas y penser maintenant. Surtout pas, alors qu'elle venait passer une bon début de nuit, auprès d'un humain qui disposait de toutes les commodités. Et qui n'était pas un terroriste, de surcroît.
D'un geste un peu timide, elle frappa à la porte, espérant que son client apprécierait qu'elle n'ait pas trop forcé sur le maquillage, ce qui révélait quelques unes des ecchymoses qui lui marquaient les bras. Depuis une semaine, elle avait du mal à supporter toutes ces odeurs violentes qui lui échauffaient le ventre. Sans doute un symptôme de la grossesse ? Impossible à savoir. De toute façon, elle n'oserait jamais demander à qui que ce soit...
La jeune prostituée forma un sourire doux sur ses lèvres rouges en apercevant l'homme qui venait d'ouvrir la porte, et s'arrêta de penser, brusquement. Elle était arrivée, et ce soir, elle se concentrerait sur son client, à qui elle accordait souvent une petite remise - histoire de le fidéliser, comme le lui avait longuement expliqué Olivier.


- "Bonsoir, Alexandre... Je ne suis pas en retard, j'espère ? Je suis contente de te voir."

Du parfum. Elle faillit perdre son sourire, alors que le teint de l'esclave devenait presque cendreux. Cet odeur était insupportable. Insupportable... elle allait... elle allait rendre son petit-déjeuner. Retiens-toi, retiens-toi... La phrase s'inscrivit comme un mantra mental, tandis qu'elle essayait désespérément ne rien laisser paraitre de son dégoût.
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Alexandre Volokine
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MessageSujet: Re: [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth)   [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth) EmptyVen 8 Juil - 15:49

Toujours aussi magnifique... dingue comment les femmes arrivaient à se mettre en valeur. Lui, ça tenait plutôt du hasard, piochant quelques fringues vaguement assorties en espérant que ça irait bien ensemble. Elizabeth, c'était une harmonie parfaite des couleurs et des formes. Une chevelure sombre et étincelante, une robe moulante et un haut rose faisait ressortir son magnifique teint de porcelaine. Sans oublier le pourpre de cette superbe rose qu'elle portait toujours. Bref, une délicieuse agression visuelle, envoûtante et provocatrice. Par contre, elle semblait avoir encore pris du poids ; une possibilité apparut, qu'il écarta aussi vite qu'elle lui vint à l'esprit. Trop improbable. Une chose était sûr, ça ne faisait qu'augmenter ses superbes atouts et c'était pas plus mal. Il s'écarta pour la laisser entrer, tout sourire.

" En retard ? Nan... Et puis de l'attente nait le désir. " Un clin d'oeil lubrique lui échappa. " Pas eu de soucis en chemin ? "

Les agressions sur prostituées étaient monnaie courante à Paris, notamment par les jeunes vampires. Faim et appétit sexuel, heures nocturnes, l'idéal pour ceux qui étaient suffisamment cons pour buter une pute esclave. Même si l'enquête des flics ne menaient généralement à rien, le maitre - ou le mac, question de point de vue - avait généralement tendance à régler le problème lui-même. Ce qui, en soit, ne déplaisait pas trop à Volo. Moins de boulot, moins de paperasses, plus de place en prison. Foutre des êtres immortels pour quelques années en prisons... Une des nombreuses conneries hypocrites de ce système vampirique.

Lorsqu'elle s'approcha, Elizabeth eut un mince frémissement, une légère crispation, le genre de truc qu'il repérait chez les gens lorsqu'ils lui racontait des bobards. Il pensa au joint et à l'odeur encore planante, et jura intérieurement. D'habitude, il avait le temps d'aérer la pièce, mais pas cette fois-ci. Certaines personnes ne supportait tout simplement pas ça, et c'était peut-être son cas ; d'ailleurs, le teint de plus en plus cireux laissait peu de doute. Volokine eut une grimace d'excuse.


" Merde, c'est l'odeur qui te dérange ? S'cuse, j'aère d'habitude. Si tu veux, on va prendre un verre en attendant ? Je connais un bar à cocktails vraiment accueillant pas très loin. "

Il connaissait aussi la réserve de came du gérant, qui revendait à petite dose aux clients. Alexandre fermait les yeux et détournait les enquêtes qui se rapprochait de l'établissement, et touchait en échange une petite prime. Ainsi qu'un open bar perpétuel, toujours pratique.
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Elisabeth Pratt
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MessageSujet: Re: [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth)   [Lieux de vie: La Marie-Jeanne (Port de la Tournelle] Après le confort, le réconfort (Pv Elizabeth) EmptyLun 8 Aoû - 18:09

Il grimaçait, s'excusait, touchait ses deux mains, avec délicatesse. Avec une politesse insoupçonné, il lui proposait d'aller ailleurs, dans un bar sympa, le temps qu'il aère. Mais malgré l'odeur, la prostituée n'avait pas vraiment envie de partir, de s'éloigner de la demeure flottante, pour rejoindre encore l'ambiance de toute manière enfumée des bars à la musique trop forte qui pullulaient dans le quartier.

Comment avait-il su qu'elle ne supportait pas l'odeur ?

Non, s'il le fallait, elle boirait un bon coup pour oublier, et elle se placerait près d'une fenêtre pour mieux respirer, sous un faux prétexte. Le comble serait de se montrer impolie, ce qu'elle savait qu'elle pouvait payer cher, très cher ; aussi étira t-elle ses lèvres en un sourire doux, suave, pour venir se coller contre le policier, tentatrice, les yeux brillants d'assurance et de lubricité feinte.
Un baiser léger sur les lèvres viriles de son interlocuteur, et un murmure s'échappa enfin de sa bouche peinte.


- "Je préfèrerai rester dans ton appartement, tu sais. J'ai beaucoup de choses... "

Elle laissa brièvement sa phrase en suspens, avant de venir souffler directement à son oreille, frôlant la chair avant de se retirer tout aussi vite :

- "A te faire partager. En privé. Cela ferai désordre quand même en plein milieu du bar..."

L'esclave se mit à rire, un rire perlé, calculé, mais toujours joyeux et un peu provocateur. D'autorité, le menton relevé vers lui, elle resserra sa prise autour des mains de l'homme, pour l'entrainer dans son propre chez-lui qu'elle connaissait si bien depuis le temps. Elle se sentait rassurée ici, plus qu'ailleurs ; malgré l'odeur insupportable, elle se sentait plus à son aise que dans le somptueux hôtel de l'autre vampire, le prince/chanteur Stan, où elle n'avait qu'une peur, celle de casser quelque chose et de se faire tuer pour une maladresse qui le mettrait soudainement en colère.
Avec assurance, elle installa son client sur le canapé, se retournant pour remplir deux verres d'alcool très fort. Agissant avec lenteur à dessein, elle comptait bien mettre en principe l'adage qu'Alexandre venait de prononcer - c'est à dire se faire désirer, au moins un petit peu. Il ne faisait d'ailleurs pas parti de ces mâles pressés qui lui demandaient des insanités de dix minutes dans l'obscurité d'une ruelle. Non, lui, c'était autre chose. Il faisait l'amour en pleine lumière et il ne la frappait pas s'il n'arrivait pas à jouir.

Pas un homme parfait, mais un type chez qui elle se réjouissait de passer du temps, en tout cas.

Avec un autre sourire, elle lui tendit son verre. Toujours silencieuse, elle avala le sien d'un trait, ses joues se colorant bientôt d'une large auréole rosée. Elle soupira de bien-être, s'assit dans un fauteuil hors de portée de son client, avec le regard taquin d'une enfant joueuse, pour enfin reprendre la parole, d'une voix presque sérieuse que démentait ses yeux noirs.


- "J'ai découvert un truc qui pourrait bien t'intéresser, du côté de la porte de la Chapelle. En me faisant courser, justement. Dans la zone des entrepôts, j'me suis planqué, j'ai entendu ... des trucs bizarres."


Du bout de son talon-aiguille, elle se mit à effleurer la chaussure du policier.

-"Je suppose que les stocks d'armes ne sont pas censés être acheminés en province pour les distribuer à la population ?"

Un vertige saisit la jeune esclave qui vacilla une seconde avant de se raccrocher à son siège, avec brusquerie. Sa nausée devenait plus forte, rendant sa réflexion difficile. Un nouveau sourire, plus factice, plus un masque que le signe régulier d'une bonne humeur toujours au rendez-vous.
Elle n'écoutait plus son interlocuteur, il fallait qu'elle se lève. Maintenant.

Elle se mit sur ses pieds, et se mit en devoir de courir toujours plus vite jusqu'à la salle de bain. Il FALLAIT qu'elle atteigne la porte... vite... vite !
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