TBC
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Partagez | 
 

 Les lieux

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Bélial
- Premier vampire -
chef suprême

Bélial

Messages : 220
Date d'inscription : 18/03/2010

Informations
Âge du perso:
More & More:

Les lieux Vide
MessageSujet: Les lieux   Les lieux EmptyMar 18 Mai - 20:33

Les Communs.

.


Les Communs, ce sont tous ces lieux inclassables, soit parce qu’ils sont partout, soit parce qu’ils n’ont leur place nulle part, et n’appartiennent pas tout à fait à la capitale. Ce sont souvent des lieux peu ordinaires, pour ne pas dire peu fréquentable. Mais il sont là, et il faut faire avec.

La Barrière.

La barrière, c’est la partie de la banlieue que l’on préfèrerait oublier, celle qui fait honte, qui fait rougir. Et pourtant, bon nombre d’humains et de vampires s’y retrouvent, pas toujours par choix, mais pas forcément pour y vivre comme des bêtes non plus. Un bout de paysage qui, comme son nom l’indique, fait barrière et dérange. Et pourtant, combien de ceux qui critiquent ces quartiers s’y rendent, parce qu’ils ont besoin de services qu’on ne trouve pas ailleurs ? Car la barrière, ça n’est pas que des squats et des dealers, c’est aussi le siège du clan, c’est le marché noir avec le fournisseur d’armes le plus important et le plus fiable de tout Paris et par là, c’est un peu d’espoir, un peu de résistance. Quand on regarde bien et que l’on prend un peu de temps pour apprendre, on peut voir que la barrière, ça n’est pas que la misère. Pour une description plus complète, poussez la porte.

La Cité.

Si l’on peut trouver quelques aspects positifs à la barrière, il est difficile d’en trouver concernant la Cité. Parce que même en y regardant bien, c’est un ghetto, comme une immense prison. Ceux qui y vivent sont traités soit en animaux, soient en objets, et il est souvent difficile de savoir quelle alternative est la pire. L’esclavage a repris les droits qu’il n’a jamais eu, et bon nombre d’humains libres rêvent de rendre leur liberté à ceux qui sont parqués là. La cité, c’est de grands murs surmontés de barbelés, qui enferment une ville miniature. De grands immeubles, nommés entrepôts ou enclos, réduisent l’humanité de leurs habitants à néant. Un marché aux airs de foire couverte sert a exposer les mortels au regard des morts et quelques bâtiments bas puent la mort à plusieurs centaines de mètres à la ronde. Même pour certains vampires, cette zone-là est une aberration. Pour une description plus complète, poussez la porte.

Sous-sols.

Un peu sous la surface du sol, c’est un véritable réseau qui grouille d’une vie étrange et souvent malsaine. Egouts, canalisations, métro et catacombes, rien de très ragoûtant là et, de l’avis général, que des canaux bons à combler. Pourtant, comme toute vie parallèle et peu ordinaire, la vie souterraine a aussi ses points positifs, bien qu’ils soient souvent assez obscurs pour le commun des mortels. Si l’on voit les choses tout à fait froidement en revanche, on finira par penser qu’il vaut mieux un charnier là où l’on ne voit rien que dans n’importe quelle ruelle ou terrain vague. Pas qu’il n’y en ait pas là aussi, mais sans ce qui grouille tout en bas, est-ce que ça ne serait pas pire ? Pour une description plus complète, poussez la porte.

Rues et ruelles.

Des dédales de rues, de ruelles, d’impasses, d’allées et de contre-allées. Des chemins qui se croisent et se ressemblent souvent, des routes où l’on se perd. Ici, il y a tout, et l’on va partout. C’est le propre de tout chemin de traverse. Ces rues vous mènent d’un quartier à un autre, sans distinction et sans peur. Pour ceux que le métro rebute, les rues sont encore la meilleure solution. Quand le jour se lèvent, elles se comblent de gens pressés et pas toujours bien reposés, qui s’engouffrent dans des bus ou des cafés, qui marchent, qui trottent, le nez en l’air ou juste pressés d’arriver. Des voitures, des bruits de klaxons, bref, de la vie. Et à la tombée de la nuit, les rues s’endorment souvent. Les passages sont plus rares et les cris remplacent souvent les bruits de circulation. Les visages éclairés par les feux tricolores se ferment peu à peu, bref, les vampires reprennent le contrôle des rues, jusqu’au matin.
Revenir en haut Aller en bas
https://bloodcrown.forumsrpg.com
 

Les lieux

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TBC ::  La Capitale  :: Les Communs-