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 [Hôpital Necker]{Intrigue: le Revers de la Médaille: Les morgues ne sont plus ce qu'elles étaient en ces temps agités}

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Baxter Finnes

Baxter Finnes

Messages : 5
Date d'inscription : 25/01/2012

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MessageSujet: [Hôpital Necker]{Intrigue: le Revers de la Médaille: Les morgues ne sont plus ce qu'elles étaient en ces temps agités}   [Hôpital Necker]{Intrigue: le Revers de la Médaille: Les morgues ne sont plus ce qu'elles étaient en ces temps agités} EmptyDim 13 Mai - 23:39



Avez-vous déjà visité une morgue ? Oui, je sais bien qu'on vient rarement à Paris pour visiter ce genre d'endroit. Et pourtant, si vous saviez que ça vaut tous les musées du monde. C'est bien plus calme, je vous jure! Ouais, faut pas jurer, disait ma mère. Enfin, la pauvre, elle peut plus trop dire grand chose. Les morgues c'est tranquille, je vous dis. Pas de touristes niais avec leurs appareils Nikkon à mille euros. Pas de foule, pas de marmots criards. Le silence. Même les gens qui y travaillent l'ont mis en sourdine. Les gens y sont sympas, discrets. Ils n'osent pas poser de questions. Des fois qu'ils provoqueraient trop de larmes par leur curiosité. Et puis, il y a les locataires, toujours de passage, sur le départ. Trop occupés à être morts pour vous embêter. Vous venez les chercher, et ils n'ont même pas l'idée de vous contredire. Surtout si c'est moi. Ils savent que je suis leur meilleur dernier ami. Je vais les faire tout beaux pour le dernier voyage. Après que le légiste les ait parfois bien embêté. Ils doivent être contents de me voir arriver. Je les charge dans le corbillard et hop à la boutique après avoir fait quelques derniers petits slaloms dans les embouteillages parisiens! Ben quoi ? On a bien le droit de s'amuser une dernière fois. Même s'ils sont un petit peu secoués, je les remettrais tout en ordre une fois arrivé.

Enfin, ce soir, je suis pas là pour ça. La cliente, je vais pas l'emmener. Nous, je viens pour la faire parler et pour lui prendre quelque chose que je ne peux pas lui laisser. Pauvre Gail, elle est bien amochée quand même... J'espère que celui qui fera le travail, le fera bien. Cette fois ce sera pas moi. Trop risqué, même si j'en meure d'envie. Un tel cas, éclaté sur le trottoir! Un vrai défi pour un embaumeur. Un défi à ma hauteur. Mais non, il ne faut pas éveiller des soupçons. Pas trop de faisceaux convergeant vers moi. Déjà le fait que je connaissais la victime. Ca suffit bien. Les flics ont beau ne pas être très futés quand il s'agit d'affaires qui touchent les vampires, il ne faut pas abuser. Déjà en venant ici, je prends un sacré risque. Mais bon, pas le choix! C'est désert, à cette heure-ci. J'espère qu'il n'y aura pas d'accident de la route ou de crime amenant des cadavres pendant que j'y suis. S'ils pouvaient attendre pour clamser que je sois parti, ça serait aimable de leur part.

Je me glisse tranquillement dans la première salle. Si on me surprend ici, je suis assez connu pour prétexter que je viens pour prendre des mensurations pour un cercueil ou un truc dans le genre. Il y en a des tiroirs mais je sais qu'ils sont rangés par ordre alphabétique. Voilà celui que je cherchais ! Bon sang! Ca me donne un haut le coeur quand même. Pauvre petite. Vite, ma valise. Hop, les fioles. J'en ai prévus des litrons. Il faut que je la vide de son sang et que je la nettoie à fond. Je sais que pour des analyses fiables il leur faut une quantité assez raisonnable. Je dois en laisser le moins possible. Le sérum d'Ethan se dégrade dans les organes et ils n'en trouveront pas assez pour déceler une anomalie. En revanche une analyse très poussée en hématologie pourrait leur mettre la puce à l'oreille. Enfin pour être plus tranquille, je vais quand même lui enlever les organes. Très très risqué. Parce que là j'aurai du mal à expliquer une taxidermie. Allez, je suis bon prince, je vais la remettre un peu dans l'ordre au niveau des os. J'aime les choses bien rangées et bien faites.

Pfouuu! Voilà deux heures que j'y suis. Enfin c'est toujours aussi calme. C'est déjà ça. Les organes sont dans des bocaux et le sang a presque fini de s'écouler. Elle est presque reconnaissable à présent. J'ai bien travaillé. J'ai presque fini.

-Merde! C'est quoi ce bruit ?

Je remballe tout dans la valise. La vache! Elle est lourde! Putain, y a un courant d'air qu'il n'y avait pas avant et j'ai senti un déplacement d'air. Je tâte mon scalpel en argent dans ma poche. Ma lampe frontale balaie la pièce. Hahaha! C'est donc ça! L'encapuchonné aux yeux rouges! Je repousse le tiroir pour ranger Gail. Merde, il ne me lâche pas celui là. Vite, le pistolet à capsule. Et oui, une petite invention signée Bax!. Un pistolet dont les projectiles sont les micro capsules que je mets dans les appâts. C'est moins raffiné comme procédé mais tout aussi efficace. Les deux coups partent et si le second le rate, je crois bien que le premier a fait mouche. Héhé! qu'il vienne ! Je l'attends de pied ferme. Ma dague et hop, je réarme le pistolet.


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Mentis Irae

Mentis Irae

Messages : 9
Date d'inscription : 24/01/2012

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MessageSujet: Re: [Hôpital Necker]{Intrigue: le Revers de la Médaille: Les morgues ne sont plus ce qu'elles étaient en ces temps agités}   [Hôpital Necker]{Intrigue: le Revers de la Médaille: Les morgues ne sont plus ce qu'elles étaient en ces temps agités} EmptyJeu 17 Mai - 23:17

Il était passé chez lui en coup de vent pour se changer et revêtir son habituel jean noir assorti d'une veste à capuche tout aussi sombre. Il valait mieux devenir anonyme pour faire ce qu'il avait à faire. Il préféra les transports en commun au taxi pour les mêmes raisons. Hors de question de laisser une trace de son appel pour la course jusqu'à la morgue au central téléphonique de sa compagnie habituelle. Ce fut long et il aurait aussi pu se transformer pour se déplacer plus vite mais même arriver sur les toits du centre hospitalier sous sa forme animale pouvait être risqué. Son incognito était à ce prix. Il devait devenir le quidam qui se fond dans la grisaille de la nuit parisienne. Il descendit du bus et longea le mur d'enceinte de l'hôpital mais s'arrangea pour la franchir par l'entrée de service plutôt que celle des visiteurs. Il y parvint sans trop d'encombre en évitant l'allée qui menait à la porte du personnel et en coupant à travers le petit parc. D'un tronc d'arbre à l'autre, il se glissait telle une ombre à l'affût des allées et venues des soignants en service cette nuit-là. Il contourna le bâtiment principal pour se diriger vers l'annexe qui abritait la morgue et en explora les portes d'accès une à une. Toutes fermées, elles ne s'ouvraient que grâce à un pass magnétique... qu'il ne possédait pas. Ne se laissant pas décourager par ce contretemps que la conscience professionnelle des humains dressait devant lui, il grimpa dans un arbre sans toutefois se transformer pour ne pas perdre l'usage de ses vêtements de camouflage. Il se contenta de sauter de branche en branche avec la souplesse que lui conférait sa nature et si quelqu'un s'était avisé de regarder par le fenêtre il aurait pensé que le vent se levait en voyant les cimes s'agiter comme sous l'effet d'une bourrasque. La chance lui sourit enfin. Une fenêtre était ouverte au dernier étage du bâtiment. Il s'élança et l'atteignit sans mal. Se réceptionnant sur le rebord de la fenêtre comme s'il avait fait cela toute sa vie, il se laissa tomber dans la pièce sur laquelle elle ouvrait et se retrouva dans un vestiaire. Il fut tenté de revêtir une des blouses qui pendaient à une patère mais son uniforme noir était bien meilleur pour passer inaperçu dans les couloirs éteints de la morgues éclairés par les seules lueurs blafardes des sorties de secours et de la cage d'escalier. Il la préféra à l'ascenseur. Ceux-ci étaient mal famés ces derniers temps. Il descendit envolant presque les étages qui menaient jusqu'au sous sol. Il arpenta le long couloir, ses sens aux aguets, captant le moindre bruit et la possible présence d'un congénère ou d'un humain.

Son ouïe et son odorat furent alertés en même temps par un souffle léger mais régulier et l'odeur si forte du sang mort mêlé à cette même odeur bizarre qui flottait autour du cadavre de la fille dans la rue. Il s'immobilisa avant la porte pour ne pas se faire repérer en coupant le filet de lumière ténu qui devait filtrer sous celle-ci et colla son oreille contre le mur. Quelqu'un s'affairait dans la pièce derrière celle-ci. De petits bruits sourds à peine perceptibles pour une oreille humaine mais terriblement nets pour la sienne. Des bruit de gouttes dans un récipient en verre probablement , de petits sons de succion comme lorsqu'on presse une éponge humide et le chuintement d'un fil traversant une matière souple. Un légiste travaillait peut-être sur le corps de la victime. Il retint un geste de colère. Il avait trop tardé en repassant chez lui, il arrivait trop tard. Il trouva étrange qu'un type de la PJ travaille seul, si tard et avec autant de discrétion aussi. Il décida d'en avoir le coeur net. Au pire, s'il tombait sur un collègue de Volokine, il pourrait toujours prendre la fuite et le semer aisément. Il fit tourner la poignée avec une infinie lenteur, priant pour que le mécanisme du penne et les gonds de la porte ne grincent pas. Il se glissa dans la pièce. Ses yeux reconnurent immédiatement le corps de la malheureuse suicidée malgré l'obscurité presque totale de la chambre froide. Un petit halo de lumière semblait irradier de son thorax. Le type qui travaillait sur elle se redressa et il fut aveuglé l'espace de quelques secondes par le halo de sa lampe frontale. Il entendit le cliquetis d'une mallette qu'on referme puis un juron étouffé et plus clairement, mais trop tard, le bruit caractéristique du chien d'un pistolet qu'on arme. La balle fusa et se ficha dans son bras gauche. Ce fut son tour de retenir des noms d'oiseau autant contre son agresseur que contre lui-même. La douleur d'abord légère devint insoutenable en profondeur dans ses chairs tandis qu'il reconnaissait la souffrance et l'odeur de l'argent. Quel idiot il faisait ! Il savait bien pourtant que l'adversaire était redoutable. Toujours la même cagoule ajourée autour des yeux et de la bouche, la préférée des braqueurs comme des groupes d'intervention du GIGN. Ne pas mettre de visage sur cette engeance était encore plus rageant. Combien de fois lui avait-il échappé alors qu'il le traçait ? Souvent, les premières fois, Mentis s'était arrêté préférant essayer d'aider la victime ou d'en tirer des renseignements plutôt que de le poursuivre puis au fil des "rencontres" avec ce tueur, il avait appris qu'il n'y avait rien à sauver en passant derrière lui. Soit, les victimes gisaient la poitrine entaillée et fraîchement recousue soit saignées par un vampire dont les restes gisaient non loin de là, carbonisés. Il avait bien pensé emporter l'humain décédé chez lui pour l'examiner un peu plus tranquillement mais à chaque fois, les flics débarquaient certainement avertis par l'autre trop heureux de signaler son double crime et de tenter de le faire arrêter par la même occasion, peut-être même de lui faire porter le chapeau et il devait décamper comme un meurtrier qu'il n'était pas afin d'éviter de se trouver sur la scène de crime en fâcheuse posture. A chaque fois, toujours cette odeur si redoutée qui flottait dans l'air, celui du minerai maudit qui portait la mort.

Cette fois, il savait en débarquant qu'il n'y avait rien à sauver puisque la morte était déjà morte depuis longtemps et par sa propre volonté aussi s'était-il promis de fondre sur sa proie pour la maîtriser et la démasquer enfin. C'était sans compter le fait qu'il ne prendrait pas la fuite mais lui ferait face en l'agressant le premier. Il avait sous estimé son adversaire et le payait cher. Malgré la douleur, sa vitesse lui permit d'éviter le second projectile et de contourner son agresseur sur lequel il fondit avec fureur. Grand mal lui en prit car l'autre essaya de le poignarder avec une dague dont le fil aiguisé capta un instant la lumière de la lampe. Mentis tenta de la lui arracher avec sa cagoule tandis qu'il prenait le poignet de l'homme de l'autre main pour la désarmer. Il ne se contenta pas de lui faire lâcher la lame mais resserra son emprise jusqu'à lui briser les os de l'articulation. L'autre poussa un hurlement de rage et se tassa sur lui-même avec une agilité surprenante. La main de Mentis chercha la gorge de l'inconnu pour lui faire subir le même sort que son poignet mais il fut contraint de lâcher rapidement prise. L'homme portait un épais collier en argent et le vampire retint un cri de douleur en sentant la brûlure sur sa paume. La proie lui échappa, ne lui laissant comme trophée qu'une lampe et une cagoule en laine noire. Le poisons se répandait insidieusement dans ses veines et il eut comme un étourdissement alors que l'autre ramassait un lourd bagage et s'apprêtait à prendre la fuite par la porte où il était entré. Jugulant sa douleur, l'immortel se jeta sur lui avec la force du désespoir et le fit choir lourdement au sol. Sous le choc, la valise s'ouvrit et une partie de son contenu se répandit sur le sol. Le fuyard se hâta de tout remettre en place mais un tube contenant un liquide carmin s'était brisé. Des bruits de pas se firent entendre dans le corridor et l'autre ne demanda pas son reste. Il disparut de la pièce pour de bon. Mentis avait le souffle court et la vue brouillée. Il ne devait pas traîner ici. Ce n'était pas ce soir qu'il neutraliserait le tueur de vampires. Il chercha un mouchoir dans sa poche et épongea la flaque de sang répandue autour des éclats de verre puis le fourra dans sa veste avec la cagoule et la lampe frontale. Les bruits de pas approchaient et des éclats de voix se résonnèrent dans le couloir. Un fameux capitaine de la DGPJ grognait en se demandant ce que c'était que ce bordel. Mentis n'attendit pas qu'il entrât pour le lui expliquer et se hissa avec peine dans une gaine de ventilation dont il avait arraché la grille. C'était la seule échappatoire pour échapper à la sagacité du barbu.

Il avait eu très chaud ce soir et le trajet retour à son domicile lui avait paru interminable. Cette fois, il s'était payé le luxe d'un taxi mais avait pris soin de lui donner une adresse située à quelques rues de son antre. Il avait tant bien que mal fini le parcours à pied en se traînant et après avoir mis en sécurité les précieux indices dans son coffre fort, il avait entrepris de se soigner du mal qui gagnait du terrain dans son corps. Au prix d'une souffrance qui aurait été difficilement soutenable pour un humain, il entreprit d'extraire la balle avec précaution. Ce n'était pas la première fois qu'on lui tirait dessus et qu'il avait à effectuer ce geste lui-même mais cette fois-ci le projectile était d'une autre nature. Il s'était fissuré et son contenu liquide se répandait dans son sang. L'extraction ne suffisait pas. Il se posa un garrot pour éviter la propagation dont il sentait déjà les effets sur toute la longueur de son bras et dans l'épaule. Que le liquide remonte au coeur et s'en était fini de lui. Il s'efforça de se remémorer les schémas de circulation sanguine qu'il avait vu sur des planches d'anatomie et réfléchit rapidement au choix qui s'offrit à lui. S'amputer, ce qui paraissait peu réalisable seul ou trouver le moyen d'extraire tout l'argent qui se promenait dans les chaires de son bras. Il savait qu'une fois cela fait, quelque soit le traitement qu'il s'infligeait, celui-ci se régénérerait mais il devait trouver le moyen de tout extraire. Comment extirper un liquide de son corps ? Il se souvint alors de la méthode qu'il utilisait pour conserver aux fleurs qu'il aimait peindre leur beauté figée dans l'éternité et se traîna jusqu'à son atelier. Il ouvrit une petite chambre froide et en sortit une volumineuse bonbonne contenant un liquide transparent. Il la transporta jusqu'au lavabo où il avait l'habitude de se laver les mains après une séance de peinture et, ayant ouvert la bouteille, il s'en versa copieusement sur le bras en suivant le trajet de la veine. La fumée vaporeuse de l'azote liquide s'éleva tandis que le flot lui brûlait la peau et cristallisait ses chaires. Son bras était devenu insensible sur toute la zone atteinte par le liquide glacial et il ne sentit même pas la morsure de la lame lorsqu'il traça une longue balafre en ouvrant la veine. Comme il l'avait espéré, l'argent restant dans la capsule s'était figé et celui qui avait filtré par la fissure s'était cristallisé en petites billes dans son sang figé tout le long de la veine. Serrant les mâchoires, il les fit sauter une à une après avoir extrait le projectile. Il collecta le tout avec soin dans une serviette afin de le ranger avec les autres indices. L'opération durant une bonne heure et lui occasionna plus d'un malaise mais sa résolution à ne pas tomber face au malade qui lui avait infligé ce revers le galvanisait.

Quand tout fût fini son bras n'était plus que chaire martyrisée mais il était tiré d'affaire, du moins voulait-il l'espérer. Il n'était plus que l'ombre de lui même lorsqu'il rampa jusqu'à son lit d'immortel pour s'y laisser tomber lourdement non sans avoir pris soin d'enclencher les mécanismes de verrouillages des portes et fenêtres de son antre. Il dormirait le temps qu'il faudrait pour laisser son bras guérir ou il périrait loin des mortels, emportant avec lui les révélations qu'il avait à faire. Mentis Irae, comme il l'avait déjà fait par le passé, sombra dans un sommeil profond après avoir affronté une trop grande adversité. Lorsqu'il serait à nouveau fort, il donnerait aux faibles mortels comme aux immortels de la Couronne les indices pour arrêter ce fou, et une fois de plus, il essaierait de leur faire entrevoir ce qu'ils ne voulaient voir aveugles qu'ils étaient... Il n'y avait pas d'humains et de vampires mais seulement des créatures soumises à la même malédiction par leur créateur et abandonnées là, les unes condamnées à se nourrir des autres ou à sombrer dans la folie comme ce malade qui avait failli avoir sa peau. Un malade qui avait inventé l'arme fatale contre les vampires et était libre d'aller et venir. Sa dernière pensée fut qu'il lui avait broyé de façon absolument radicale les os du poignet. Il saurait le reconnaître, à ce signe et à bien d'autres indices... Mais pour le moment, il devait dormir ... dormir... juste dormir.
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